Le Blog de la Guitare

La musique en général est une chose magnifique… mais on a tous nos instruments et nos styles de prédilections, n’est-ce pas ?

Pour cela, je vous présente un petit blog sympathique : http://guitare.eklablog.com/

Les apprentis guitaristes pourront y trouver des conseils utiles, par exemple pour savoir comment lire une tablatures de guitare, quels sont les étapes pour débuter à la guitare, et s’y exprimer sur les sujets qui les passionnent. Il y a ainsi un article consacré aux différentes méthodes de guitare en ligne disponible sur le Net.

Ce blog traite donc essentiellement de guitare. Ce qui ne l’empêche pas, par ailleurs de parler également de musique en général et de piano (un article explique comment fonctionne un piano, quel est l’histoire de cet instrument, etc.). Pleins de choses sympa donc !

En passant, voici un petit lien sympa pour trouver des cours de piano gratuits : http://www.cours-de-musique-en-ligne.com/meilleurs-cours-de-piano-et-de-clavier-en-ligne/ 🙂

Une petite histoire du rock ? Partie 5 : Les années 90

Les années 1990, la scène de Seattle et les autres

Les années 90 ont continué à voir l’expansion du rock alternatif, tant aux niveaux artistiques que commerciaux. La tendance générale de l’époque était à la musique de plus en plus abstraite, la musique qui a perdu son étiquette originale de la musique de danse de fête.

Tout d’abord, les années 90 ont été la décennie des auteurs compositeurs interprètes qui jouent leurs compositions plus abstraites : des compositeurs féminins tels que Tori Amos, Lisa Germano et Juliana Hatfield, des compositeurs masculins tels que Matthew Sweet ou Beck. De l’Australie, Nick Cave a enseigné à tout le monde, la réduction de la production de Tom Waits. Le Canada avait Jane Siberry et Loreena McKennitt. L’Irlande avait deux des voix les plus uniques, Sinead O’Connor et Enya, bientôt rejoints par Bjork en Islande.

Le « Foxcore » a été une mode brève propulsé par tous les groupes de punk-girl de la côte Ouest des Etats-Unis, comme Hole, Babes In Toyland, L7 et Seven Year Bitch.

La musique industrielle a effectué un retour spectaculaire à Chicago avec deux des actes les plus visibles de la décennie: Ministry et Nine Inch Nails. New York a suivi avec Cop Shoot Cop et Type O Negative, San Francisco avec la Steel Pole Bath Tub, Penser Fellers Union.

Le rock gothique est venu de la Sun Belt (Lycie, Black Tape For A Blue Girl) et n’a jamais été aussi populaire que la variante nord de la musique industrielle.

Le Hard a encore perduré à la suite du grunge, et New York (Unsane, Helmet, Monster Magnet) et Los Angeles (Tool, Stone Temple Pilots, Kyuss, Korn) ont eu leur part du gâteau.

La techno est la nouvelle tendance dans la musique de danse. Inventée dans les années quatre-vingts à Detroit par la triade des disc-jockeys Juan Atkins, Kevin Saunderson et Derrick May, elle a traversé l’Atlantique et s’est établie en Angleterre et dans le continent (Front 242), marchant main dans la main avec la scène rave. L’Amérique a été laissé derrière (Moby et rien d’autre).

La Grande-Bretagne était le lieu de la musique psychédélique. Cela a commencé avec la renaissance de Liverpool Echo And The Bunnymen et Julian Cope, puis s’est accélérée avec le rêve-pop (Cocteau Twins, Dead Can Dance en Australie, le norvégien Bel Canto, et plus tard Slowdive, Bark Psychosis, Tindersticks) et avec les bandes sonores Scottish-Pop (Jesus and Mary Chain et de Primal Scream) et a finalement atteint un point culminant avec la shoegazers (My Bloody Valentine, Spacemen 3, Loop, Spiritualized, Catherine Wheel), avant de plier en une nouvelle forme de musique d’ambiance.

À la fin de la décennie, la Grande-Bretagne a été inondé de Brit-Pop, une transe provoquée par les médias de la pop mélodique qui a engendré d’innombrables groupes, de The Verve à Oasis à Blur et à Radiohead.

Les années 90 ont également été la décennie des du Metal (qui a culminé à Los Angeles avec Metallica, Jane’s Addiction, Guns n’ Roses) qui s’est bientôt scindé en sous-genres multiples (doom metal, grind-core, death metal, etc) et le funk-métal ( Red Hot Chili Peppers et Rage Against The Machine à Los Angeles, Primus et Faith No More à San Francisco).

Le Punk-pop est né à Los Angeles dans les années 80, mais a en quelque sorte atteint un sommet dans les années 90 (Green Day à San Francisco, Screeching Weasel et Pegboy à Chicago).

Les années 90 ont été la décennie du rock intellectuelle. New York se pencha vers le Rhythm and Blues (Jon Spencer Blues Explosion, Soul Coughing, Royal Trux) et psychédélique (Yo La Tengo), Boston vers le psychédélique (Galaxie 500, Morphine) et la pop (Sebadoh, des éleveurs, ventre), Seattle vers psychédélique ( Cries Mary Sky, Built To Spill), Los Angeles vers la musique psychédélique (Mazzy Star, Red Spirits Temple, Grant Lee Buffalo), San Francisco vers le folk (American Music Club, Pavement, Red House Painters), Washington vers le punk- rock (Unrest, Girls Against Boys), Chicago vers le punk-rock (Jesus Lizard, Eleventh Dream Day), pop (vert, Smashing Pumpkins) et la Country (Uncle Tupelo).

Les années 90 ont également été l’âge de la musique électronique. Les usiciens et groupes électro s’étendent à la Belgique (Vidna Obmana), la France (Air, Deep Forest, Lightwave), l’Allemagne (Sven Vath, Mo Boma, Mouse On Mars, Air Liquide), au Canada (Skinny Puppy, Front Line Assembly, Delerium, Vampire Les rongeurs, Trance Mission), à la Scandinavie, et surtout au Japon.

Une petite histoire du rock ? Partie 4 : L’Epopée du Rock Alternatif

L’épopée du Rock Alternatif

Aux États-Unis la nouvelle vague a été remplacée par le « no wave » de Lydia Lunch et Sonic Youth, tandis que le punk-rock a évolué en « hardcore » et des myriades de groupes ont émergé de New York (The Misfits), Boston (Lemonheads), et surtout de Washington (Bad Brains, Pussy Galore, Fugazi). La côte ouest a connu sa part de violence hardcore, mais Los Angeles (Black Flag, X) et San Francisco (Dead Kennedys, Flipper, Camper Van Beethoven) ont réussi à rester plus expérimentales. Tant et si bien que Los Angeles a vu l’émergence d’une génération de groupes avec des racines dans la scène « beach-punk », dont le son est beaucoup plus complexe (Minutemen, Saccharine Trust…), une école qui a culminé avec la carrière solo de Henry Rollins.

A l’époque, toutes sortes de groupes néo-rock parcouraient New York. Boston a donné deux des plus influents : Dinosaur Jr et les Pixies, qui ont, de fait inventé le « grunge ». Le sud-est devenu l’un des berceaux d’un genre mélodique qui mélange folk-rock et la pop (B52’s, REM). Seattle a vu la renaissance du hard-rock et le boom du grunge (Nirvana, Soundgarden, Pearl Jam). Chicago a vu la naissance du génie du mal Steve Albini avec le Big Black. Minneapolis a été le véritable catalyseur: la Husker Du et les remplacements, et plus tard, Soul Asylum, a changé toute la notion de punk-rock et créé les prémisses d’un retour au format de la chanson rock avec un nouvel élan.

Pour succéder aux punks, apparurent les Butthole Surfers au Texas, les Flaming Lips dans l’Oklahoma, le Phish en Nouvelle-Angleterre et de toute une légion de gourous à New York: Mark Kramer, Dogbowl, Jarboe, Lida Husik, Azalia Snail.

Le Roots-Rock survécu de son côté, propulsé par le succès occasionnels des Black Crowes, par la brillante carrière de Del-Lords et par l’énergie phénoménale de groupes moins connus tels que les Fetchin Bones.

Dans l’intervalle, un autre phénomène de la rue des ghettos, le hip hop, a révolutionné la scène musicale et des groupes comme les Beastie Boys, Run DMC, Public Enemy ont traversé le public rock. Des producteurs comme Tackhead ont contribué à redéfinir le concept de « composition ».

La Grande-Bretagne a suivi un cours différent, presque dans une direction opposée, vers une musique plus simple et plus commerciale. Tout a commencé avec les modernistes sons d’Ultravox, de Wire et de XTC, et leurs mélodies vaguement robotiques. Depeche Mode et les Pet Shop Boys ont été probablement à l’origine des morceaux les plus artistiquement réussis de toux ceux qui gravirent les charts. U2 et les Smiths se tournèrent quant à eux brusquement vers la mélodie…

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Salut les amoureux de la zique !

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Une petite histoire du rock ? Partie 3 : Les années 70

Les années 70
La mort de Morrison des Doors Jim, de Janis Joplin, de Jimi Hendrix et d’innombrables autres stars du rock, vient refroidir le phénomène rock qui était jusqu’alors en plein essor. D’autres style émergent. Le reggae devient un style de musique grand public grâce à Bob Marley. Le funk devient encore plus expérimentale avec les groupes de George Clinton. Puis naissent le heavy metal et le hard rock, porté par des groupes tels que Blue Oyster Cult, Kiss, Aerosmith, AC / DC, Rush, Journey ou Van Halen.

Au tournant de la décennie, le phénomène musical le plus important a été l’émergence d’une nouvelle génération d’auteurs-compositeurs-interprètes qui étaient la conséquence directe des ambitions intellectuelles de la génération précédente. Leonard Cohen, Tim Buckley, Nico, Lou Reed, Todd Rundgren, Joni Mitchell, Neil Young, Tom Waits, et le plus célèbre de tous, Bruce Springsteen, ont créé un personnage musical unissant le compositeur classique et le chanteur de folk.

En Grande-Bretagne, la décadence musicale conduit à la décadence rock, personnifiée par des dandys comme David Bowie et Marc Bolan. La notion de musique rock s’élargit. De nouveaux musiciens tels que Kate Bush et Mike Oldfield  libèrent le rock de la classification en genres et ouvrent la voie à davantage de musique abstraite. Mais le musicien le plus influent de l’époque est sans doute Brian Eno, qui, le premier, conduit Roxy Music à innover avec progressive-rock puis la musique ambiante.

Largement négligée à l’époque, le rock allemand (souvent dénommé « musik kosmische ») avait probablement vingt ans d’avance sur le rock britannique. Kraftwerk, Amon Duul, Tangerine Dream, Klaus Schulze, Faust, Neu Can produisent quelques-uns des albums les plus importants de l’époque. Ils jètent par là les fondations pour la musique électronique, du rock instrumental moderne, et même de la musique New Age et du disco.

Les années 70 ont été en grande partie une décennie de consolidation, plutôt que l’innovation, mais deux phénomènes ont éclaté avec un très un impact: le disco et le punk-rock. Le disco est le premier style à utiliser des instruments électroniques pour de la musique commerciale. Le punk-rock a eu un impact encore plus grand, parce qu’il est apparu avec l’émancipation de l’industrie du disque et des « majors ». Des milliers de labels de disques indépendants produisent des artistes « underground » et bientôt la scène musicale se divise entre le rock mainstream (descendant de Presley et des Beatles) et le rock alternatif (descendant de Zappa et The Grateful Dead).

Les Sex Pistols mène l’école britannique très prolifique du punk-rock. Les Punks ne sont pas forcément en colère, anarchique et suicidaire: les Clash représentent ainsi « les punks qui ont un cerveau ». Les Punks de New York sont aussi intellectuels que les chanteurs folkloriques deux décennies auparavant. Patti Smith, Television, Suicide, Feelies ont été les principaux acteurs de cette nouvelle vague.

Le rock and roll est né de nouveau. Tout comme dans le milieu des années soixante, ont a découvert chaque année des dizaines de musiciens brillants qui ont été contribué à redéfinir les canon de la musique rock.

Une petite histoire du rock ? (Partie 2)

Les années soixante

Le renouveau du rock arrive d’Angleterre. La Grande-Bretagne avait un métro d’avance sur les Etats-Unis : les clubs de Blues. Durant les années 50, ces clubs fleurissent partout en Angleterre. Londres en est l’épicentre, mais chaque ville a les siens. Les Anglais soumettent ainsi le blues à une métamorphose qui le transformé en musique de « blancs » :  ils insistent sur les refrains, accélèrent le rythme et le chant devient plus lyrique.
Des groupes comme les Rolling Stones, les Yardbirds et les Animals émergent.  The Yardbirds, en particulier, deviennent le terrain d’expérimentation de trois des plus grands guitaristes de l’histoire du rock : Eric Clapton, Jeff Beck et Jimmy Page. Peu après, c’est ce dernier qui, avec Led Zeppelin, va à nouveau révolutionner le rock.

A Liverpool, un groupe légendaire se forme : les Beatles, qui atteignent rapidement un succès mondial. Les visages poupins des enfants de Liverpool contrastent avec ceux des rebelles du blues des clubs clandestins. Mais tous deux se complètent. La musique rock moderne naît, et devient avec les Beatles une entreprise multinationale.

Deuxième vague de rockers dans les 60’s

Les groupes les plus influents de la deuxième génération sont les Kinks et les Who. Tous deux enregistrent des albums sur le concept radical de « l’opéra rock » . Mais tandis que les Kinks sont partisans du rock mélodique, les Who’s déchaînent le son distordu des guitares électriques.

Cream et Led Zeppelin achèvent la fusion entre blues et rock, et les riffs du groupe de Jimmy Page, John Bonham, Robert Plant et John Paul Jones constitue la première incarnation du « hard rock ».

L’influence de la scène britannique sur celle des Etats-Unis est considérable. Sur la côte Est, Bob Dylan mène la charge. Ses premières performances électriques sont accueillies avec déception par ses fans, mais bientôt le « folk-rock » trouve son plein essor, avec les hits des Byrds et de Simon And Garfunkel.

Le mouvement psychédélique, qui est alors en forte expansion, fusionne avec la vague des rockers électrique, à la fois sur la côte Ouest et la côte Est. The Velvet Underground notamment, donne ses premières connotations intellectuelles au mouvement.

A San Francisco tout comme à Los Angeles, l’explosion du rock and roll se fait de façon excentrique. San Francisco devient la Mecque des hippies et engendre l’acide-rock », avec des groupes tels que le Jefferson Airplane et le Grateful Dead, qui s’avance bientôt dans la fusion du rock et du jazz, avec des harmonies complexes. Los Angeles engendre pour sa part Frank Zappa et Captain Beefheart, deux des musiciens les plus influents du siècle.

Le rock psychédélique se répand de la Californie jusqu’en Angleterre. D’un côté les Doors, de l’autre Pink Floyd, deux groupes mythiques.

Ce formidable dynamisme redonne vie au blues, qui est bientôt incarné dans sa version la plus innovante par Jimi Hendrix et Janis Joplin. The Band et Creedence Clearwater Revival atteignent de leur côte de nouveaux sommets. Dans le sud de ce mouvement de renouveau aboutira à l’explosion de la « southern rock » et l’émergence des Allman Brothers et de Lynyrd Skynyrd.

En Grande-Bretagne, Canterbury devint le centre de l’école la plus expérimentale du rock, avec des groupes comme The Soft Machine, qui préfigure le rock progressif. Ce style de rock trouve des nouveaux leaders avec King Crimson par exemple, ou le groupe Genesis a ses débutas. Le style se répand rapidement en Europe continentale, avec des groupes rock majeurs : Magma, Art Zoyd, Univers Zero.

Le renouveau folk des années soixante provient essentiellement de la créativité d’une poignée de trois groupes : le Pentangle, le Fairport Convention et The Incredible String Band. Mais autour d’eux, des auteurs-compositeurs-interprètes comme Donovan, Cat Stevens, Nick Drake, John Martyn, Syd Barrett et Van Morrison établissent de nouvelles normes dans l’expression musical.

Une petite histoire du rock ?

J’adore la musique, et notamment le rock !

Alors dans ce tout premier article, avant de parler théorie, apprentissage de la musique ou quoi que ce soit d’autre, je vais vous présenter une petite histoire du rock. J’espère que vous apprécierez 😉 !

Les origines du rock n’ roll !

Je publierai cet article en plusieurs parties… Alors, commençons par le commencements et voyons quels sont les grands inventeurs du rock.

On peut dire que c’est Chuck Berry qui a inventé le rock n’ roll. C’était en 1955 et c’était un noir qui jouait de la musique noire. Mais les choses ont rapidement évolué, et ce sont également les blancs qui se sont mis à jouer de cette musique, qui n’a pas tarder à devenir très populaire.

Avec Elvis Presley, le rock devient la musique d’une génération entière. Buddy Holly est pour sa part devenu le rocker à peau blanche de la fin des années 50, à côté des Everly Brothers et de Duan Eddy.

C’est ensuite Bob Dylan qui est devenu le musicien sans doute le plus influent de son époque. Il incarne à la fois la poésie et la rébellion et devient l’idole de toute une génération.

Le rock s’étend et trouve ses particularités dans les différentes régions des Etats-Unis. Lorsqu’il arrive en Californie, il devient la surf music, notamment avec les Beach Boys.

Nous continuerons notre petite histoire du rock n’ roll dans un prochain post ! En attendant, vous pouvez faire un tour sur le site de Cours de Musique en Ligne, qui vous permettra de trouver des cours de musique en ligne !